Article posté par Moana Nui.
Paru le mardi 3 mai 2011 à 05:23
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La guerre des questionnaires
La veille, nous avions reçus les questionnaires pour les postes vacants. Nous les avions remplis pendant la nuit. Tous ceux qui voulaient devenir professeurs avaient déjà préparé les cours et les programmes avant et donc, nous avions passé une partie de la nuit à remplir les questionnaires. Je pensais que cela pouvait attendre mais manifestement Narvath, Cinna et lilo n'étaient pas de mon avis.
A mon réveil, je partie donc pour envoyer mes hiboux mais, voyant le monde de dingue qu'il y avait je choisi de rester en retrait préférant rejoindre Tara, Lilos et Ellana. Je m'approchais donc d'elle :
"- Alors Moana, on a plus envi de se faire réduire en charpie par tout ces fous? -railla Lilos.
- Très drôle... c'est de la folie, vous les avez vu? Ils sont prêts à nous tuer pour envoyer leurs hiboux. Alors que franchement, les professeurs vont certes commencer à lire les hiboux mais bon, ce n'est pas pour autant que les premiers hiboux vont être choisi. Mais, au fait, où est Petitange?
- Elle est partie dans la cohue... elle veut être Préfète mais, je ne suis pas sûre qu'elle réussissent à envoyer son hibou sans se faire tuer au préalable.- expliqua Ellana.
- Bon, on va les attendre ici" -décida Tara
Quelques minutes après, Narvath, lilo, Cinna et Petitange sortaient de la volière. Elles étaient essoufflées, échevelées mais souriantes.
"- Alors, ça c'est bien passé? -demanda Ellana
- Oui, on les a envoyé et vous?- répondis Narvath
- On attend que tout le monde sois parti.
- Ça va être long.
- Mais non, pas du tout."
Et en effet, 5 minutes après la volière se vida aussi vite qu'elle ne s'était remplie. Ellana et moi, allâmes envoyer nos questionnaires de préfètes et pour moi, celui de professeur de latin. Nous sortîmes normalement, pas comme Cinna and co.
"- Et bien voilà, plus qu'a attendre les résultats"- dit lilo en souriant.
Nous étions toutes impatientes de savoir si nous allions ou non obtenir les postes souhaités et c'est avec une certaine appréhension que la journée commença.