La Magie de Poudlard

Nous sommes ravis de vous retrouver pour cette nouvelle année à Poudlard ! Nous espérons que l'école sera à la hauteur de vos attentes comme vous serez à la hauteur des siennes.
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Devoir d'Histoire de la magie (Narvath -> Jénifaël )

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Hermione-Granger
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MessageSujet: Devoir d'Histoire de la magie (Narvath -> Jénifaël ) Devoir d'Histoire de la magie (Narvath -> Jénifaël ) Icon_minitimeVen 7 Sep - 15:21

Article posté par Gilmour.
Paru le mardi 15 novembre 2011 à 23:35
Vu 32 fois.

Devoir de Narvath
Année 1, cours 8


- Sorcière ! Sorcière !
- Au bûcher !
- Brûlons-la !

Tous les moldus me hurlaient dessus, le vacarme était assourdissant. Résistant à la tentation de réduire le volume avec ma magie, je me concentrais sur mon objectif : le bûcher. Placé en hauteur sur une estrade, de la paille était placée en dessous. Après un rapide coup d'oeil, il apparut que cette paille n'était pas très sèche ; j'imagine que les moldus voulaient faire durer mon "agonie".

On m'amena devant un groupe de prêtres. Ceux-ci, tenant leur rôle très à coeur malgré ma sorcellerie et ma laideur (je m'étais amusée à m'édenter, à me rider, à me faire de longs cheveux sales et emmêlés et même à me faire pousser des verrues pleines de pus sur le visage !), entreprirent de me "bénir" et de recommander mon âme au "Seigneur", le "Sauveur". Je m'ennuyais et laissais mon esprit s'égarer quelques instants.

Lorsque je m'étais portée volontaire pour être brûlée vive, je ne pensais pas avoir la chance d'être choisie : il y en avait tellement qui souhaitaient tenter l'expérience au moins une fois dans leur vie ! Mais je l'avais été, pour mon plus grand bonheur. Il paraît que c'est très amusant, et j'avais moi-même déjà assisté à plusieurs crémations. Quand je retrouvais la sorcière quelques instants après son apparition, celle-ci était hilare en se remémorant la tête des moldus ! Ensuite, il était de coutume que tous ceux ayant assisté à la crémation fissent un grand banquet, pendant lequel la sorcière faisait son récit avec force détails. Les réjouissances duraient toute la nuit, voire davantage.

- Amen.

Clignant des yeux, je revins au moment présent. Il avaient finis leur prière. On me demanda de prononcer mes dernières paroles. Désireuse de donner le meilleur de mes talents d'actrice, j'avais pris le temps de me documenter sur les peurs de la Confrérie. Je crachais aux visages de ceux qui me faisaient face -ils reculèrent précipitamment avec dégoût- et hurlais d'une voix éraillée :

- Que le Diable m'emporte ! Ave Satanas ! Des hordes de démons s'abbatront sur vous, répandant guerre, famine et maladie ! LUCIFER ! Belzébuth, Astarot, Lucifuge, Satanachia, Fleurety, Nebiros ! Leviathan, Baal ! Entendez mon appel ! AVE SATANAS !

Même les gardes qui me tenaient d'une poigne de fer avaient reculé, emplis d'horreur. Mes mains étaient menottées, mais je traçais sur le sol de mes pieds nus un cercle, et deux triangles entrecroisés à l'intérieur.

- EMPAREZ-VOUS D'ELLE ! Le feu est purificateur ! Brûlez-la, brûlez-la sans plus attendre !

Je fus presque jetée sur le bûcher. Tandis que le premier garde m'attachait au poteau le plus rapidement possible, terrorisé à l'idée de me toucher trop longtemps, le deuxième répandait de l'huile tout autour. Sitôt que je fus solidement entravée et que mon enchaîneur avait sauté sur le sol, un prêtre jeta lui-même une torche sur la paille, qui flamba instantanément. Les flammes montèrent très haut, plus haut que moi, en quelques secondes. Alors, murmurant la formule du Noeud Dénoua, je pus me redresser correctement. Poussant un hurlement d'agonie, dément, je ne transplanai qu'au tout dernier moment.

J’atterris au milieu d'une pièce propre et claire. Quelques instants plus tard, je fus accueillie par mes compagnons, qui pleuraient de rire devant ma fin présumée qui, selon eux, méritaient d'être archivée comme l'une des plus monumentales. Je devins hilare également en me remémorant la tête effrayée des moldus fanatiques. J'avais hâte de recommencer.


Article posté par Gilmour.
Paru le jeudi 12 janvier 2012 à 00:06
Vu 30 fois.

Devoir de Xocolatl
Année 1, cours 1



Contrairement à ce que l'on pouvait croire, nous, les sorciers ne sommes pas des êtres nés de Dieu ni de créations Bénéfiques des Divinités! Nous ne sommes pas des êtres qui étaient sensés êtres bénéfiques à l'humanité, au contraire...
Il était une fois, quelques jours après la création du monde, des plantes, de l´eau, des animaux, des humains... Dieu ravi de SA création la contemplait émerveillé, le seul qui ne paraissait pas heureux était Satan, le Roi de Enfers qui n´avait encore personne dans son royaume vu que le monde était encore pur et sain.
Alors il décida de créer lui aussi une espèce, un être qui pourrait lui procurer plus de monde. Un être capable de semer la pagaille dans un monde aussi parfait.
Alors il réfléchit, il faudrait qu´il ressemble à une espèce déjà existante pour ne pas se faire repérer tout de suite. Les humains semblaient les plus appropriés, donc SA créature ressemblerait aux humains, il parlerait la même langue et penserait à peu près comme eux.
Mais pour le différencier il allait lui donner quelque-chose que les humains ne possédaient pas: la Magie.
Il alla placer sa créature dans le ventre d'une femme déjà enceinte, pour que sa naissance ne fut pas trop suspecte. De là naquirent deux jumeaux tous deux étaient devenus des sorciers! Il répéta cette étape plusieurs fois. Ainsi naquirent les sorciers de sang pur. Certains prirent la voie que leur avait choisie leur père Satan, d'autres choisirent le bien... Puis ils se reproduisirent entre eux ou avec des humains répandant leurs pouvoirs à travers le monde, plus ou moins détestés des humains qui craignaient le surnaturel.


Article posté par Gilmour.
Paru le jeudi 29 mars 2012 à 23:13
Vu 15 fois.

Devoir de Moana Nui
Année 2, cours 4


[Autour de moi résonne le fracas des armes et les hurlements de mes frères. Des cadavres et du sang jonchent le sol. Autour de moi tout n'est
que mort et destruction. Si je n'interviens pas ma tribu sera bientôt complètement détruite.] ainsi pensait Archail tandis qu'autour de lui les tribus Kritan et Fythe s'entretuaient. Le sorcier de premier ordre positionna ses mains comme si il tenait un ballon et sans prononcer un mot fit jaillir des flammes de ses mains. D'abord petites, les flammèches se transformèrent très vite en un véritable brasier qui consummait tout sur son passage. Devant Archail les gens mourraient par dizaine. Le sorcier tentait de garder le contrôle de son sort. Il était très puissant, même parmis les sorcier de premier ordre et son entonoir enflammé ne faiblissait pas. Des torrents de flammes jaillissaient sans discontinuer de ses paumes grandes ouvertes. Mais alors que le sorcier commençaient à réduire la portée de son sort un puissant souffle se fit sentir et les membre de la tribu d'Archail furent prit de panique. Autour d'eux tout se faisait couper par le Poing d'Air. Et malheureusement le feu aussi. Archail essayait de résister mais le vent réduisait petit-à-petit la force des flammes. Rien n'y faisait, sous le regard impuissant d'Archail comme Moïse coupa la mer en deux son océan de flamme se transforma en deux petite mer de feu avant de disparaître complètement.


Article posté par Gilmour.
Paru le jeudi 10 mai 2012 à 16:54
Vu 6 fois.

Devoir de Titad992
Année 1, cours 7


Je marchais dans la forêt, pénétrée par un sentiment de grandeur, comme si rien ne pouvait me faire tomber de mon piédestal – encore aurait-il fallu que j’en eusse un. Je savais pourtant que je n’étais pas infaillible. J’étais une simple mortelle, comme tout un chacun. La seule différence d’avec les moldus, c’est que moi, j’ai des pouvoirs qu’eux n’ont pas. Les arbres se succédaient, tous semblables, à mes yeux. Un petit lapin passa devant moi. Dans ma tête, je l’imaginais cuire dans un chaudron, avec quelques légumes. Pourtant, je chassais vite ces pensées alléchantes pour me concentrer sur ce pour quoi je venais. Une réunion concernant notre monde. Enfin concernant le monde des moldus et le monde des sorciers.
Ils étaient déjà tous là, assis sur divers supports. J’arquais un sourcil, en signe d’interrogation, mais personne ne semblait capter la question silencieuse. Je sortis ma baguette, fis apparaître une chaise comme celle que j’ai dans ma petite chaumière et m’assis dessus.

« On t’attendait. »

Un homme, paré de vêtements aux couleurs chatoyantes, surgit d’entre les conifères et autres arbres pour se joindre au drôle de cercle que l’on formait tous. Je lui adressais un sourire glacial.

« Je ne peux rien faire contre le temps. Contre les intempéries. Et contre les embûches qui se dressent sur mon chemin, quand bien même je suis sorcière. »

Il acquiesça d’un signe de la tête et entreprit de parler.

« L’heure est grave, mes amis. L’équilibre entre notre monde et le monde des moldus est compromis. Il faut trouver une solution pour le rétablir. Ou l’abolir. »

« Autant l’abolir, cet équilibre. Ces moldus nuisent à notre univers, nuisent à notre magie et ne veulent que notre perte. » dit un sorcier à l’air patibulaire

« Et moi, je veux la leur. Ils sont d’une impolitesse envers nous… Je ne leur ai rien fait, mais quand on voit comment ils nous remercient, j’ai juste une envie de massacre ! » s’exclama une sorcière plutôt potelée

« Cela ne sert à rien de vouloir la perte d’anciens amis. Ils nous ont toujours soutenus dans nos affaires et nous dans les leurs, autrefois. Sans eux, en serions-nous là ? N’oubliez pas que dans un passé proche, nous étions liés. Une telle alliance, ça ne s’évapore pas dans les méandres de la colère. N’oubliez pas aussi que nous avons fortement appris d’eux et des erreurs que nous, aussi bien qu’eux, ont pu commettre. N’oubliez pas que dans le fond, ils sont comme nous. Mais dans un tel climat tendu, comment faire quand vos alliés deviennent vos ennemis ? » déclama le sorcier aux vêtements aux couleurs chatoyantes

Dans ma tête, des rouages semblaient s’emboiter parfaitement pour arriver à une idée qu’on pouvait appeler solution. Pour moi, elle m’apparaissait totalement absurde.

« Quand j’étais adolescente, je jouais souvent à cache-cache avec les voisins. J’étais bien trop grande pour ce jeu, mais il fallait occuper les plus petits. Et, à l’aide de sorts divers, je faisais grandir des plantes, me cachais derrière elle, ou alors, je changeais mes vêtements de couleur et enfilais une perruque. J’essayais de faire de notre endroit de jeu un monde à part. Un monde à part dans le monde réel. »

« Un monde à part dans le monde réel… » marmonna un sorcier dans sa courte barbe rousse. Un sorcier dont on connaissait tous le nom. Le Grand Alex Le Preux. Le directeur de l’école de magie.

Tous les regards convergèrent vers lui. Un silence de plomb s’était installé sur notre assemblée. On attendait tous qu’Alex parle. Un ventre gargouilla, quelqu’un hoqueta, un cerf brama. Diverses émotions passaient sur le visage du Preux au fur et à mesure de ses réflexions. Il semblait à des années lumières de là. Puis, un sourire illumina sa face.

« Un monde à part dans le monde réel… C’est ça qu’il nous faut ! Côtoyer les moldus sans que ceux-ci s’apperçoivent de notre présence. Avoir notre monde, avec nos propres maisons, nos propres champs et autres créatures. Avoir nos propres écoles qui seront masquées à leurs yeux. Et c’est une bonne idée car cela va mettre en pratique notre magie. Nous avons un sort qui consiste à masquer des choses insignifiantes comme un pot de lait ou un livre. Pourquoi ne pas l’étendre à des bâtiments, à des hommes ? En le modifiant quelque peu, on pourrait arriver au résultat escompté. Je sais que nous en sommes capables. J’ai confiance en vous, tous autant que vous êtes. En êtes-vous ? »

L’homme aux vêtements aux couleurs chatoyantes se redressa sur son tabouret et fixa le Grand Alex le Preux avec un immense sourire. Il se déclara d’accord avec cette idée. Quelques minutes plus tard, la sorcière potelée donna son accord, ainsi que le sorcier à l’air patibulaire. D’autres sorciers, ayant tenté de parler, sans succès, s’allièrent à eux. Et moi de même. Je ne pouvais pas refuser une idée qui, d’une certaine côté, était le fruit de mon expérience. Cependant, jamais je n’aurais pu proposer ça. A l’aide de déguisements, de camouflages, j’aurais proposé mon idée, mais masquer tout un peuple entier, logements, autres bâtiments, animaux et autres nécessités, c’était une idée à laquelle je ne pouvais accéder. Seul le Grand Alex le Preux le pouvait. Car lui seul était le plus sage.


Article posté par Gilmour.
Paru le jeudi 10 mai 2012 à 17:35
Vu 9 fois.

Devoir de Jénifaël
Année 1, cours 2


"- En cette nuit de pleine lune, je vais vous raconter la légende de Graack le Fort et la Pierre du Ciel. Vous le connaissez, non ? C'est le créateur de notre tribu.
Il allait se marier avec la fille du guérisseur de la tribu, dont il était amoureux. Mais pour être considéré apte à honorer la fille d'un autre homme, le soupirant doit se soumettre à une coutume. Le test du collier. Ce n'est pas un test de force que devait remporter Graack, ou il aurait assurément gagner. Non, non, le test du collier consiste à récupérer des objets naturels qui représentent les symboles d'un mariage accompli pour les deux parties. Le symbole de la fertilité, de la solidité et de l'amour. Trois objets devant être assemblés en un collier ou en un autre objet.
- Mais pourquoi, ça s'appelle le test du collier, alors ?
- Parce que tous les soupirants avant lui ou presque avaient confectionnés un collier. Mais il n'était pas interdit de réaliser quelque chose d'autre, comme un trophée, expliqua le conteur. Le soupirant n'a qu'une journée pour réussir le test. A présent, Graack est en train de passer le test. Le soleil est haut dans le ciel et il a rassemblé une rose trémière, symbole de la fertilité et pour symbole de l'amour, il avait attrapé une plume de cygne et une plume de colombe.
- Pourquoi ?
- La plume de la colombe représente l'amour, la grâce, représente la femme. Le cygne est le symbole de la fidélité, car dans cet espèce, lorsque deux individus se mettent en couple, ils restent fidèle l'un à l'autre pour la vie.
- Oh ! firent les petites filles.
- Graack n'avait plus qu'un objet a trouvé, le symbole de solidité. Ce qui représentait la force du lien entre le couple, la durabilité. Ne trouvant rien de satisfaisant à ses yeux, il partit du côté de la montagne, ou la roche était abondante. Là-bas, il se mit en quête d'une pierre, testant leur dureté. Toutes se fracassaient contre la paroi de la montagne. Il continua pendant des heures et des heures. Rien ne lui résistait. Le jour commençait à se faner derrière la montagne, mais il continuait. Il venait une énième fois de lancer une pierre, lorsqu'il repéra une pierre uniforme et circulaire. Il la soupesa dans sa large main. La roche était bien plus lourde qu'on ne le pensait aux premiers abords. Graack localisa un rocher en pointe, aussi fort qu'il put, il frappa de sa pierre ronde la pointe du rocher. Bam ! A sa plus grande surprise, c'est le rocher qui se cassa. Il recommença. Plusieurs fois. Bam ! Bam ! Bam ! La déception l'envahit lorsque la pierre uniforme céda, se scindant en deux. Quel ne fut pas sa surprise lorsqu'il vit l'intérieur de la pierre noir. Tout scintillait de transparence. Il tâta sans délicatesse et remarqua une nouvelle fois la dureté impressionnante de la pierre. Il venait de trouver son symbole de solidité. Maintenant il ne lui restait qu'à assembler le tout. Mais comment faire ? Il y réfléchit tout en se rapprochant de la tribu. Il eut alors une idée.
- Quoi ? Quoi ?
- Saisi d'impatience, il chercha plusieurs fleurs, avec son couteau il chassa l'habit noir de la pierre blanche. Il recueillit d'autres plumes de cygne et de colombe. Il avait tous les matériaux en main. Il commença son assemblage : Posant la pierre maintenant tout brillant, sans plus une trace de terre, sur le sol, il tressa les tiges des fleurs en y ajoutant les plumes. Il trouva une fine liane qu'il enroula autour de la pierre et de la tresse. L'effet était saisissant. Magnifique !
Graack s'aperçut alors qu'il ne lui restait plus beaucoup de temps. Vite ! Il retourna voir sa tribu. Sorcha, la fille du guérisseur l'attendait avec désespoir et impatience. L'homme cacha son œuvre derrière lui et s'approcha d'elle, confiant. Les Anciens de la tribu s'approchèrent à leur tour avec le guérisseur. "On commençait à penser que tu ne reviendrais pas, lui dit l'un d'eux. Ou est le collier ?" Sans répondre, Graack se tourna vers Sorcha et lui tendit son "collier". Tous furent éblouis par la pierre, elle scintillait de mille feux. La lumière du soir semblait avoir été enfermée dans la pierre. "Elle est quasi-indestructible, déclara Graack d'une voix grave. J'ai rassemblé plusieurs fleurs qui reflétaient mes sentiments pour toi. Et ce sont des plumes de cygne et de colombe." Les Anciens, ainsi que le père de Sorcha validèrent la demande en mariage de Graack et décidèrent d’appeler la nouvelle pierre...
- La Pierre du Ciel ! S'exclamèrent les enfants."
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